La prise en charge de l’arrêt cardiaque en France constitue un enjeu de santé publique majeur car il est responsable de la mort de plus de 50 000 personnes par an avec un taux de survie qui diminue au fur et à mesure des minutes qui passent. C’est pourquoi, le 11 janvier 2021, le Service départemental d’incendie et de secours et le Fonds de développement du Bon Samaritain ont signé une convention afin d’intégrer un réseau de bénévoles, dénommés « bons samaritains », formés aux gestes de premiers secours et à l’utilisation d’un défibrillateur, dans le système actuel de gestion des urgences.
Toutes les informations pour devenir bénévole sont en pièce-jointe.